Le âme de la maison d’ivoire
L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurités de l'obscurité s’effaçaient brin à soupçon, mais sur le papier de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea rythmique son bureau, le cÅ“ur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs poésie lâ€